Les ventes donnent le vertige. En sept jours, Mon pays c’est l’amour, l’album posthume du rockeur décédé en décembre dernier s’est écoulé à 780 000 exemplaires. Un record qui le place bien devant les meilleures ventes américaines.
Le plus français des rockeurs, certains diront belge, se place devant l’album de Drake, le start canadien internationale. Les scores parlent d’eux-mêmes, l’idole des jeunes a vendu 780 177 copies en une semaine « battant par la même occasion le plus gros hit de l’année aux États-Unis, l’album Scorpion de Drake » qui n’en a vendu que 732 000 selon la BBC. Si Johnny bat le rappeur de 50 000 pièces, ses ventes sont d’autant plus impressionnantes qu’elles concernent un public beaucoup plus restreint entre la France, la Belgique, la Suisse et le Québec.
Les anglais sont surpris par cet engouement sans précédent. Par comparaison, le dernier album de David Bowie sorti deux jours avant son décès a difficilement atteint les 150 000 exemplaires en une semaine outre-manche. Toujours selon la BBC : « La sortie de ce 51e album de Johnny Hallyday s’est transformée en événement national en France ». Le journaliste parle également des « les longues files d’attente qui se sont formées devant les magasins de disques la veille de la sortie de l’album ». Record absolu avec 300 000 ventes le premier jour.
On devrait dépasser le million d’exemplaires avant Noël. Warner Music a relancé en urgence une presse de 700 000 nouveaux disques. A cela on doit ajouter les 25 000 premiers vinyles écoulé dés le premier jour. Johnny serait capable seul d’influencer sur le recul du marché du disque hexagonal.
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