Le patriarcat me coûte un rein : un essai choc qui chiffre enfin l’injustice

Camille de Decker frappe fort avec Le patriarcat me coûte un rein, un essai percutant publié dans la collection “À Sexe Égal” de Beta Publisher. En mêlant humour grinçant, données économiques et expériences vécues, l’autrice dresse une addition implacable : être une femme coûte plus cher. Littéralement.

Une démonstration économique du sexisme ordinaire

Loin des débats abstraits, cet ouvrage part d’un postulat clair : le patriarcat ne se contente pas de peser sur les esprits ou les mœurs, il grève aussi les comptes bancaires. L’écart salarial, les carrières brisées par la maternité, la précarité menstruelle ou encore la sous-représentation dans l’entrepreneuriat y sont analysés à l’euro près. L’autrice compile chiffres officiels, études de terrain et témoignages pour mettre en lumière une réalité invisible : le sexisme est une inégalité comptable.

Un ton accessible, engagé… et salutaire

Dans un style mordant et pédagogique, Camille de Decker rend accessible un sujet souvent cantonné à des cercles militants ou universitaires. Elle s’adresse à toutes celles et ceux qui sentent que “quelque chose cloche” mais n’ont pas les outils pour le formuler. Le livre se lit comme un manuel de survie économique dans un monde construit pour les hommes – et trop souvent aux dépens des femmes.

Une publication engagée chez Beta Publisher

Avec sa collection À Sexe Égal, l’éditeur Beta Publisher continue de proposer des textes puissants, porteurs d’un féminisme moderne, chiffré et ancré dans le réel. Le patriarcat me coûte un rein s’inscrit dans cette ligne éditoriale : un féminisme documenté, loin des caricatures, et qui agit comme un révélateur social.

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