Le TORM est le nouveau roman de science-fiction qui fait parler dans la communauté très exigeante des amateurs du genre. Une équipe de jeunes redécouvre ses pouvoirs originels et se voit propulsée dans une succession de missions ambitieuses et insolites, avant même de comprendre comment ils sont arrivés dans « le Diamant ». Tout un programme pour ce premier roman abouti, dont le côté philosophal devrait séduire bien au-delà des simples amateurs de science-fiction.
Tous reliés et tendus vers un unique objectif, huit jeunes constituent et diffusent le TORM, « la nouvelle vibration ; la nouvelle Terre ». Ces apprentis ont été choisis pour cultiver les principes du TORM, une énergie colossale boostant les savoirs et habiletés qui leur permettront d’équiper la planète Terre et les humains de leurs meilleurs atouts.
Tout au long de leur périple, Hidric, Sedna, Oshun, et cinq autres jeunes élus s’appliquent à contrer des forces supérieures, afin de montrer qu’il y a d’autres façons d’être. L’ancien peut être remplacé par quelque chose de mieux. Pour franchir les obstacles qui se dresseront devant eux tout au long des tomes I et II, ils devront débusquer les tyrans qui glorifient la peur, l’opposition, les honneurs et le tape-à-l’oeil afin de mieux régner sur des humains aux abois, marchant tels des funambules sur une illusion de stabilité et de grandeur. « Quel dommage que de si grandes âmes soient si mal avisées… » Les huit apprentis devront s’affranchir de leurs propres limites afin de tisser la trame invisible et bénéfique du TORM, une œuvre généreuse qui guérit, émerveille et fortifie tout à la fois.
A travers « Initiation au Diamant » et « De toute éternité », Régine Bonnard souhaitait insuffler une réflexion à ses lecteurs. Selon elle, la science-fiction permet une grande liberté narrative qui lui a permis d’explorer, sans restriction aucune, toutes les facettes qui font de l’être humain ce qu’il est aujourd’hui et sera demain.
Régine Bonnard, forte de ses mentors tels que Luc Besson, Christopher Nolan ou encore Steven Spielberg, peint d’une main de maitre les principes et codes de la science-fiction, tout en proposant une œuvre originale; une palette d’alchimiste qui s’enrichit de spéculations philosophiques, mystiques et poétiques.
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